Pris de sous les rayons du Soleil
Par une main vermeille
Je me réveille dans une caverne
Jamais vu l'Eden
Je brûle de ces rayons de Soleil qui ne me touche plus
Je pleur la lumière perdue
Volée lachement
Par la perfide nommée Temps
Ses accolytes au nombre de 24
Se rient de mon être et idôlatrent
La monstrueuse
Creuse mon ami, creuse
Tout est fini pour toi tu ne peux plus te battre
Ton visage fatigué, tes yeux cernés
Montrent ta proche destiné
Rends les armes, laisse ton corp meurtri
Se reposer comme promis
Une larme coule! que se passe t'il?
Ne te suffit tu pas de ces milliers de milles
Minutes; heures passées auprès de moi?
Trop n'est jamais assez tu vois
Ne te bats plus mon ami
Creuse creuse
Encore six mètres de vie.
BiBoui
Le déménagement - 67
Il y a 2 jours
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